"Tchôdron"
samedi 11 octobre 20h30. Confirmé
Une création collective de Muriel Clairembourg, Blanche Delhausse, Sarah Mélotte-Piront
Et si la sorcière n’était pas qu’un personnage au grand nez qui fait bouillir des enfants dans son chaudron mais avant tout une femme, une femme persécutée, une voisine qui soigne les brûlures, une amie qui fait des tisanes, une grand-mère au potager bien rempli ?
Léo et Malou racontent et rencontrent celles d’hier qu’on a brûlées et celles d’aujourd’hui qui se révèlent… Mamé et ses plantes magiques, Michée et son bûcher, Madeleine et ses mains curatives.
Aujourd’hui, comment se relier à notre passé, à nos peurs, à ce qui nous dépasse, au vivant ?
Sur la scène, deux acteur·rice·s s’envolent, libèrent les corps et les voix. Parce que oui, les sorcières ça décape et décapote.
En compagnie de marionnettes, de guitares, de témoignages, les acteur·rice·s se déchaînent sauvagement pour désenchaîner gaiement nos sorcières oubliées.
"Maya Nashoba" samedi 8 novembre 20h30. Confirmé
... présentera son alum Je suis en duo avec Johan Barra
Après avoir forgé son identité artistique sous le nom de Maya, l'artiste renaît sous le pseudonyme Maya Nashoba. Son parcours musical débute en 2017 avec un premier EP, Mavi Bon'jouk, témoignant de sa fierté pour son héritage belgo-turc en mêlant la langue maternelle de sa mère au français. Aujourd'hui, Maya Nashoba se lance dans une nouvelle phase de création, écrivant des textes en français à l'image de ses émotions : brutes, urgentes et profondes. Son premier album, prévu pour le printemps 2024, promet d'être une exploration sincère et authentique de son identité. Chaque chanson sera une révélation, une part de Maya Nashoba. Son parcours musical est une quête d'acceptation et de découverte de soi, une danse délicate entre vulnérabilité, douceur, maturité et sagesse
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"Le 7ème jour" - Samedi 13 décembre 2025 20h30. Confirmé
de et par
Alberto García Sánchez
Tout commence par un mythe cosmogonique: au septième jour de la création, l’harmonie régnait entre les êtres humains et la nature ; elle était telle que le paradis n’avait besoin ni de poètes ni de conteurs car la justice et la beauté étaient présentes toujours et partout. Puis la cupidité est apparue entrainant dissonance et conflits.
En plein XXIe siècle, ce spectacle jette un regard sur les expulsés du paradis, les marginalisés et humiliés à qui l’on dit et redit jusqu’à satiété que le paradis est malheureusement perdu, que l’injustice est l’état naturel de la vie et que le mieux à faire est de l’accepter et de se jeter dans les bras du chacun pour soi.
LE SEPTIÈME JOUR nous invite à considérer que, peut-être, le paradis n’est pas perdu, qu’il est quelque part maltraité, privatisé et surtout oublié ; qu’il est possible que ce soit lui, le paradis, qui ait été expulsé de l’humanité, expulsé de nos pensées et de nos rêves, et qu’il n’attend qu’un geste pour envisager un nouveau retour : qu’on ait le courage de l’imaginer.
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